0114.

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Automutation. Organe-potard en tissu bio-organique. Distorsions câblées. La loi des séries montée en dérivation. Des drones qui abattent comme des obus. Courir. De bonnes pompes, une veste fidèle en déclin. Du noir, des rails, des raids. Il choisit de choir sur moi un premier de l’an. Ses pupilles dilatées me transpercent autant le cortex que le verre pilé sur son faciès, couleur Bloody Mary saupoudré de Bath Salt. Et là, je serre fort une autre main que la mienne. On dit que c’est salvateur. J’avais oublié. Fuir un brunch faisandé. Des tartines de froid gras, des oeufs que trop brouillés, une tartiflette gout Tartuffe pour honorer le banquet des enflures. Intégration putride à en devenir apatride. Du savon noir au gant de crin sur des brûlures rémunérées mais non-déclarées. Des volutes arômatisées d’H2O vaporeuses dans les bronches. La sensualité des abîmés. Une connexion non-exclusive à prendre ou à lester. Les chimères rafistolées au Sterilstrip. Une colonne vertébrale bitumée, aux filaments de lights orangées comme moelle épinière, longée à 140 -A 160 en Honda Civic- Foncer tête biaisée. Un bol d’air vers les polders. Une ère. Des aires. Radiation Texaco en rouges néons tungstène. Une lettre s’éteint. On s’étend. L’aube de la nuit entre 4 et 5 pm dans une énième weirdzone. Bucolique panorama pré-apocalyptique. Prendre de la hauteur. Une cabane mentale comme un haut château dont nous serions les maitres. Etage 4. Une ellipse, une onde décentrée sans gravité. Une boucle saillante comme les extrémités. Les flammes des arcs électriques. Fusion confuse encapsulée. “Prends moi, surprends moi mais ne me reprends pas” je me dis. La distance ou l’effondrement. Mentaliser là son propre génome, sa carte auto-routière montée en caryotype. Un bug signalé. Avertissement vocodé. Un capside hélicoïdal aussi bien planqué qu’un radar. Ca donne envie de s’en griller une. En oublier de faire des mômes. Une enseigne discount. Un mirage d’oasis lacrymal. Une réaction vaine. Un moteur hybride. Briller. Exister. L’exil.

C.

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